[Récit de course] Venez revivre mes 10km de Strasbourg et découvrez la gagnante des pronostics !

L’histoire de mon 10km à Strasbourg

5h30 (H-5) – Le réveil positif

C’est dimanche matin, il est 5h30, je me lève tranquillement. La première chose à laquelle je pense en me réveillant c’est « Vivement 10h30 que la course débute ! ». Cela fait 2 jours que je n’ai pas couru et 4 semaines que je me prépare spécifiquement pour cette épreuve. A cela s’ajoute les 8 semaines de préparation pour Annecy. Mes jambes sont prêtes, j’ai hâte.

Toutefois, chaque chose en son temps. Après avoir bu un grand verre d’eau, je commence sereinement la journée, comme chaque matin depuis plus d’un an, par diverses activités positives du Miracle Morning : méditation, lecture, écriture, projection visuelle et réveil musculaire. 

6h30 (H-4) – Contrôle de l’équipement

Pour me rassurer, je vérifie mon équipement que j’ai préparé la veille : chaussures Asics, chaussettes Salomon favorites, short décathlon avec un mouchoir dans une poche et mes écouteurs dans l’autre, dispositif de mesure des dynamiques de course déjà accroché à l’arrière du short, le même tee-shirt blanc qu’à Annecy, le brassard pour ranger mon petit iPhone, le poignet éponge tout blanc tout propre, le bandeau Nike pour retenir la transpiration, les lunettes de soleil…bref, tout y est. Je suis rassuré. J’ai préparé en complément un sac avec des affaires et de quoi manger après la course. A cela s’ajoutent bien sûr le dossard et les 4 petites épingles pour ne pas qu’il s’envole 😉

10Km Strasbourg dossard en poche

Je monte à l’etage pour préparer le petit déjeuner que je vais prendre avec ma famille qui est là pour l’occasion.

7h00 (H-3h30) – Petit déjeuner serein

Nous déjeunons tranquillement tous ensemble, le sourire aux lèvres. Je prends le petit déjeuner que j’ai l’habitude de prendre. Conserver ses bonnes habitudes le jour d’une épreuve est important. J’ai donc dans mon bol : des flocons d’avoine, une banane coupée en rondelle, diverses graines et de la compote de pomme. De quoi faire le plein d’énergie sans trop m’alourdir.

Je le prends avec plaisir en discutant avec mon grand-père, mon père, ma mère, ma soeur, ma nièce et ma compagne. Ça fait plaisir d’être entouré de personnes que l’on aime et d’échanger positivement dès le matin. Les ondes positives sont au rendez-vous. Je termine mon petit déjeuner à 7h30. C’est l’heure à laquelle j’écris un petit message positif à deux de mes amis qui vont aussi participer au 10km et que je retrouverai plus tard. Aussi, comme prendre son petit déjeuner 3h30 avant une course c’est l’idéal, la préparation d’avant course se poursuit bien.

8h30 (H-2h) – On roule sereinement

Ça y est, je suis en tenue : jogging par dessus le short et une veste par dessus le tee-shirt pour avoir chaud. Il est prévu qu’il fasse 10 degrés mais avec les -2° l’autre fois à Annecy, je préfère assurer le coup. Les voitures sont chargées. On démarre pour se rendre à Strasbourg.

9h (H-1h30) – On marche tranquillement

A cette heure-là un dimanche matin, les routes sont dégagées. Les voitures sont garées, on marche tranquillement quelques minutes vers la zone de la course. On retrouve nos amis et on prend quelques dizaines de minutes pour discuter tranquillement.

Une femme nous interpelle sur un stand pour nous proposer de faire quelques photos souvenirs d’avant course. On y va avec plaisir.

Pierrick et Julien au Stand photo
Crédit photo : Groupe Car Strasbourg – Pierrick à droite et moi à gauche.

9h45 (H-45min) – L’échauffement

J’avais prévu de débuter l’échauffement vers 9h40. Tout va bien, on est dans le timing. On le débute à 45 avec mes deux amis. On fait divers exercices sur place pendant 5min pour bien éveiller notre corps et bénéficier des bienfaits de l’échauffement : Jumping jacks, fentes, talons fesses, etc. On se positionne au soleil pour profiter en complément de la vitamine D 😉

EchauffementFentes

On poursuit l’échauffement avec 15 minutes de footing en Endurance Fondamentale dans le parc de l’Orangerie. On croise de multiples coureurs. Les allées s’animent.

Chacun fait ensuite 5 minutes à un rythme plus soutenu, à environ 85% de FCMax. Comme nous courons à des allures différentes je les laisse quelques minutes et je croise un bon ami coureur, avec qui j’ai fait des Trails l’année dernière. Il est venu accompagner son fils pour courir le 10km. Une belle démarche positive, ça fait plaisir. On se souhaite les trois une bonne course et l’échauffement se poursuit.

Je le termine avec quelques petites accélérations avant de rejoindre mes amis et ma famille. J’enlève le jogging et la veste car ça y est, je suis chaud. Ma compagne m’accroche mon dossard. Derniers encouragements, on se dirige vers nos sas respectifs. Le début de la course approche. En mettant ma main sur ma poitrine, je ressens mon coeur qui tape et qui accélère légèrement. Le stress positif arrive.

10h15 (H-15min) – Direction la zone de départ

En marchant en direction de mon SAS, j’interpelle le meneur d’allure des 45 minutes. Il m’indique qu’il n’y a pas de meneur des 40 et qu’il faudra donc le faire en autonomie. J’ai confiance en mon entraînement donc cela ne m’inquiète pas. Je lui demande s’il a un conseil pour le positionnement dans le SAS en lui indiquant que je souhaite le faire en moins de 39 minutes. Il m’indique de me mettre le plus possible à l’avant car il y aura beaucoup de monde.

Il faut savoir qu’il y a 7 SAS différents avec 4 vagues de départ. Les règles de positionnement dans les SAS sont différentes par rapport à Annecy. Un justificatif de moins de 40 minutes n’est pas reconnu pour cette course. A Strasbourg, il faut être licencié FFA ou faire partie du groupe Elite pour accéder au 2 premiers SAS. Comme je ne suis dans aucune de ces 2 catégories, je n’ai le droit d’accéder qu’au 3ème SAS Orange des moins de 45 minutes.

Même si ce n’est pas un positionnement idéal, je me dis que c’est déjà pas mal. Je marche pendant 5 bonnes minutes sur le terre-plein central avant d’accéder à mon SAS Orange. J’essaye d’avancer un maximum mais le SAS est déjà bien plein. Je suis entouré de coureurs et avec mes 1m69 je n’arrive pas à voir l’avant de mon SAS.

10h25 (H-5min) – Derniers réglages

Comme d’habitude, je démarre l’application Runtastic avec le compte à rebours, je démarre une playlist sur Spotify que je me suis préparée pour l’occasion et j’active le mode course sur ma montre Garmin. Je fais quelques respirations ventrales. Il fait 10 degrés et je suis prêt !

10h30 – 3, 2, 1…

…Le coup de feu retenti, c’est parti ! Pour le moment, ça n’avance pas. Il y a tellement de monde que nous sommes les uns près des autres. Après quelques instants, ça commence à avancer doucement. Je vois la ligne de départ au niveau de mes pieds, je démarre l’activité sur ma montre.

Pour le moment, je suis la foule de coureurs. Avec mes 53kg et ma petite taille, j’essaye de me faufiler. J’en double un par la gauche puis un autre par la droite. Mais ce n’est pas évident car nous sommes serrés et il y a beaucoup de monde. J’arrive seulement à doubler quelques coureurs. Aussi, je fais bien attention de ne bousculer personne car ça joue des coudes comme on dit.

1er kilomètre

Je regarde ma montre et je constate comme à Annecy que l’allure de démarrage est bien inférieure à celle que j’avais prévue : 4m41s sur les 250 premiers mètres à la place des 4m05s prévues. Je reste toutefois confiant car je sais qu’il est crucial de partir tranquillement et que le 1er kilomètre doit être le plus lent. Ce ralentissement imposé est donc un mal pour un bien.

Je double « Clément ». Il m’impressionne toujours quand il vient participer à des courses. Oui parce qu’il faut savoir qu’il est non voyant. Un vrai battant. Bravo à lui !

2ème kilomètre

Ça y est, j’arrive à atteindre l’allure prévue sur la globalité du 2ème kilomètre. Je continue de doubler des coureurs et je constate que 4min1s s’affiche sur mon petit écran en allure moyenne. Je me sens bien, j’arrive à bien gérer mon souffle.

Je continue de doubler des coureurs et en regardant devant moi je crois reconnaître « Sandra ». Oui, c’est bien elle. J’arrive à son niveau, je lui demande si ça va. Elle me répond oui et on se souhaite mutuellement une bonne course avec le sourire.

3ème kilomètre

Il y a eu quelques virages à 90° et il a fallu faire quelques relances dans ce 3ème kilomètre. Mais je me sens toujours bien, les jambes sont toujours au rendez-vous. Je viens de passer à côté du parc de la citadelle et je jette un oeil sur ma montre. Je vois que 11m58s se sont écoulées. Avec une nouvelle allure moyenne de 3min59s, je sens que j’arrive à accélérer petit à petit. C’est bon signe.

4ème kilomètre

Une bonne ligne droite avec de bonnes sensations. Je suis bien dans ma course. Je sens que mon souffle est bien présent mais j’arrive à continuer à tenir mon allure. Je constate même que mon allure moyenne s’améliore. Je passe à 3min56s. Je suis confiant.

Je constate qu’il y a une excellente ambiance sur les bords de la route. Des encouragements et de la musique. En plus de celle que j’ai dans les oreilles, ça motive.

5ème kilomètre

J’ai une légère sensation de soif mais je n’avais pas prévu de boire. Toutefois, j’observe quelques centaines de mètres plus loin un ravitaillement sur ma gauche. Un jeune coureur s’empare d’un verre d’eau devant moi et je fais de même. Je ralenti légèrement pour le prendre en courant, je bois une petite gorgée et je jette le verre dans la poubelle quelques mètres plus loin. Contrairement au marathon de Colmar, je ne me suis pas étouffé en buvant, je progresse 😉

Julien au ravitaillement
Crédit : Photo DNA – Jean-François BADIAS

Je me rends compte que j’ai perdu quelques secondes avec ce petit ravito car ma montre affiche désormais 4m10s en allure instantanée. Il faut donc que je relance la machine pour rester dans la course.

6ème kilomètre

En complément des multiples personnes qui sont présentes pour nous encourager, je cris « Allez ! »  pour m’auto-motiver. Ça fonctionne, j’arrive à accélérer légèrement. Je ressens que mon souffle commence à s’accentuer. Aussi, je commence à sentir mes jambes qui deviennent un peu plus lourdes. Mon allure moyenne est désormais de 3m56s et je la maintiens.

7ème kilomètre

La Cathédrale de Strasbourg est dépassée. Je continue de doubler des coureurs et je ressens de plus en plus mes jambes. Le souffle lui, je le gère bien. J’ai la sensation d’accélérer mais quand je jette un oeil à ma montre je vois une allure instantanée de 3m59s sur la fin de ce 7ème kilomètre. C’est à partir de là que je prends conscience qu’il ne faut plus que je me fie à mes sensations car la fatigue commence à se faire ressentir. Je cris une nouvelle fois « Allez ! » pour me motiver. Je ne me soucis pas de ceux qui m’entourent, je suis dans ma bulle. Mon allure instantanée affiche à présent 3min52s, je suis confiant.

8ème kilomètre

J’ai devant moi une file de coureurs. Nous sommes les uns derrières les autres, nous avançons quasiment au même rythme. Pour la première fois depuis le début de la course, un coureur me double. C’est comme pour me rappeler que ces 2 derniers kilomètres vont être décisifs et qu’il ne faut pas se laisser aller. Mon mental est au rendez-vous, je me sens capable d’accélérer alors je m’exécute sans me soucier de mes jambes qui se font de plus en plus lourdes. Pour m’aider, cette fois-ci au lieu de crier j’utilise mes bras. Je fais cela lors de mes séances de fractionnés car je sais que cela me permet de gagner en amplitude et quelques secondes au kilomètre. J’en profite pour dépasser le coureur qui m’avait doublé. Mon allure instantanée affiche 3min43s/km à la fin de ce 8ème kilomètre.

9ème kilomètre

Je regarde au loin et je sens que la fin de la course est proche. J’entame donc le dernier kilomètre. Je constate que j’ai dépassé les 35min de course. J’hésite à accélérer dès le début de ce 9ème kilomètre car même si je sens qu’il me reste de l’énergie je ne veux pas me « griller » trop tôt. Je maintiens donc l’allure.

Les centaines de mètres qui vont suivre, je ne les vois pas passer. J’attaque le dernier virage avant la ligne droite finale. Je n’ai pas le temps de regarder ma montre car je vais de plus en plus vite, je dépasse plusieurs coureurs.

Les 250 derniers mètres

Je vois que l’arrivée approche à grand pas alors je me dis, vas-y donne tout !

Je me lance dans un sprint à plus de 21km/h. Je me rappelle avoir dépassé plusieurs coureurs sur cette dernière ligne droite. Je n’ai pas le temps de regarder ma montre car je suis focalisé sur mon accélération finale. C’est donc avec étonnement que je vois que le « Chrono » qui est affiché à l’arrivée indique « 39m46s »…

Au final, je passe la ligne d’arrivée surpris car je suis donc bien loin de l’objectif que je m’étais fixé alors que je pense avoir bien géré ma course. J’arrête ma montre et je vais me chercher à boire.

L’après course

Je retrouve ma famille et on discute ensemble de la course pendant que je mange des morceaux de banane. Je me sens fatigué mais pas épuisé. Je suis content de ma course et de la manière dont je l’ai gérée. Même si je suis surpris du temps final affiché, j’ai apprécié de courir cette course et l’ambiance était au rendez-vous.

Quelques minutes après, mes amis arrivent et ils ont également réalisé de très bons temps sur 10km et ça fait plaisir !

Enfin, on rentre tranquillement en famille à la maison. Je ne vous cache pas que je marche doucement car je sens que mes jambes ont bien été utilisées. On déjeune tous ensemble pour que je reprenne des forces puis nous faisons un passage à la gare pour laisser repartir la famille en Bourgogne.

Le soir j’ai toujours le doute…

Je regarde sur le site officiel des courses de Strasbourg et je constate que c’est toujours le temps de 39min46s qui est affiché… Toutefois, en visionnant les vidéos que ma compagne a réalisées, je remarque qu’il y a plusieurs secondes qui séparent le coup de feu, de mon passage sur la ligne de départ. Aussi, le temps qu’affiche ma montre est inférieur au temps annoncé sur le site. J’écris donc à mon ami Sandra, qui court plus souvent que moi des courses officielles, pour avoir son avis sur le sujet.

Le verdict tombe le lendemain matin…

C’est le lendemain que j’ai sa confirmation. Les 39min46s correspondent à mon temps « Scratch » et non à mon temps « réel ».

Scratch vs Réel

Le temps « Scratch » est le temps qui sépare le « coup de feu de départ jusqu’au passage à la ligne d’arrivée ». Le « temps réel » lui correspond bien au temps qui sépare le « passage de la ligne de départ jusqu’au franchissement de la ligne d’arrivée ».

Mon temps réel est donc en réalité le suivant :

Au final, je réalise donc un nouveau record personnel en améliorant le temps d’Annecy de plus de 20 secondes.

Par ailleurs, je suis agréablement surpris de constater que mon classement est sympathique puisque je me positionne pour la première fois dans le TOP 100 d’une course au classement général.

Même s’il me manque 22 petites secondes pour atteindre l’objectif principal de passer sous les 39min que je m’étais fixé, je suis très content ! Je sais que je ferai mieux la prochaine fois et que j’en suis capable. Ma motivation et ma discipline ont payé 😉

Qui est le vainqueur des pronostics ?

Il y a quelque temps je vous avais proposé de participer à un pronostic pour indiquer le temps que vous pensiez que je ferais à Strasbourg. L’heure est venue 😉

Il est désormais temps d’annoncer le vainqueur des pronostics. J’ai sélectionné le participant ou plutôt la participante qui a annoncé le temps le plus proche de mon temps « Réel » et non « Scratch ».

A 14 secondes de mon temps réel, tu avais fait une bonne estimation. Bien joué Fabienne !

Merci également à toutes celles et à tous ceux qui avaient joué le jeu en faisant des pronostics.

>> Cliquez ici pour retrouver les autres pronostics sur les 10km de Strasbourg

Remerciements

Je tiens vivement à faire une spéciale dédicace à mon grand-père, mon père, ma mère, ma soeur, ma nièce, mon neveu et ma compagne pour m’avoir soutenu pendant ma préparation et pour m’avoir encouragé positivement le jour de la course.

Merci également à tous mes amis proches pour leur soutien.

Merci aussi à vous lectrices et lecteurs pour vos multiples messages positifs d’encouragements lors de mes semaines de préparation.

Vos petits mots et commentaires positifs me font toujours plaisir !

Aussi, je suis content de voir que vous êtes de plus en plus nombreux et nombreuses à me suivre et à me dire que je vous motive positivement à courir. Ça me touche beaucoup et ça m’incite bien évidemment à continuer ce blog et ma démarche positive de partage.

Question

Et vous, avez-vous déjà eu le doute après une course entre votre temps « Scratch » et votre temps « Réel » ?

Partagez votre expérience dans les commentaires, ça m’intéresse.

Le mot de la fin

Je vous remercie d’avoir pris le temps de lire mon récit de course jusqu’au bout.

J’espère qu’il vous a plu.

En complément, je vous annonce qu’un VLOG (vidéo) est en préparation pour vous faire revivre quelques moments forts de cette course 😉

En attendant, soyez libre de revivre en 5 minutes ma course d’Annecy. Certes vous n’y verrez pas la Cathédrale de Strasbourg mais le paysage avec le Lac d’Annecy c’est sympa aussi 😉

>> Cliquez ici pour voyager à Annecy et revivre ma course

Je vous souhaite une excellente journée et un bon entraînement.

Pour ma part, j’ai fait une séance de reprise après quelques jours de repos passif et j’ai une bonne nouvelle, je tiens toujours sur mes deux jambes et avec le sourire bien sûr 🙂

A très vite pour le VLOG de Strasbourg et de nouvelles surprises !

Julien

4 réflexions sur “[Récit de course] Venez revivre mes 10km de Strasbourg et découvrez la gagnante des pronostics !”

  1. Grand bravo pour cette course à Strasbourg et pour ton nouveau record , super Chrono, félicitations .👍
    Je suis contente d’avoir deviné au plus près ton temps , je me suis basée sur la course d’Annecy en pensant que tu feras mieux… et j’ai gagné 😊

    C’est tjrs avec grand plaisir que je lis tes articles , continué comme ça , bravo .
    Fabienne

    1. Julien GONZALVES

      Merci beaucoup Fabienne pour ton message positif, c’est gentil de ta part 😉

      Je suis content que mes articles te plaisent et que tu prennes du temps pour Les régulièrement, ça me fait bien plaisir 😁

      J’en profite pour te féliciter à nouveau pour avoir trouvé le temps le plus proche, ta stratégie de te baser sur Annecy a été la bonne 👍

      Ah oui et je te confirme, je vais continuer comme ça 😉

      De ton côté, garde bien ton attitude positive c’est super 👍

      Je te dis à très bientôt pour de nouveaux articles et je te souhaite un bon entraînement 😉

      Julien

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